Le village de Cadillon

Xan revenais de Arcus avec Éphrem. La route avais été longue et il cherchais une place où ce reposer. Il aperçus au loin, à travers les arbres et les plantes, le village de Cadillon. Il devança Éphrem pour aller jeter un oeil, histoire de tâter un peu le pouls du village. Grande fût ça surprise à la vu du spectacle qui s'offrait à lui. Il alla sur la place public et cria un faible :

<<Ya quelqu'un? Hého!>>

Sans toutefois s'attendre à une réponse, il commença à se dirigé vers l'auberge pour voir s'il y avait âme qui vive.

Ce qui lui semblait être un cri de démon tira l'aubergiste de son coma. "Ils sont de retour" se dit-il en ouvrant les yeux. Il se mit aussitôt a essayer de comprendre où il était, tout en cherchant son épée courte ou n'importe quel arme tranchante qui pourrait l'aider a se défendre. Il passa une main sur son front et découvra une fissure sanglante à l'arrière de sa tête. "Ils m'ont eu" se dit-il en comptant ses doigts.

Sans savoir si le danger était écarté et si d'autres avaient survécus à l'attaque des démons, l'aubergiste décida de se cacher derrière le comptoir de la place et de trouver refuge dans une demie miche de pain sec et une bonne rasade d'une bière qu'il avait entamé la veille, avant le combat. Il resta dans l'ombre et reperdit connaissance, sombrant une fois de plus dans ses cauchemards des dernières semaines.

Ephreme arriva sur les lieux peu de temps après Xan, tout sourire au visage. Il parlait, comme a son habitude a Binocle, étrange petite créature poilu, il lui racontait se qu'il voyait ou entendait.

Le jeune homme jeta un regard rapide autour de lui

<<AAAAAAAAAAA AAAAAA aaaaaaaaa os%@& bâtard, héooooooooo hohé>>
Il rejoignit Xan qui se dirigeait lui même vers l'auberge

<<Popa..... Èphreme>>
Le triste décor ne semblait lui faire ni chaud ni froid, bien au contraire de binocle qui jetais des regard partout derrière eux.

Xan commençais à avoir un mauvais présentiment, mais sa curiausité était plus forte que sa crainte et il décida d’entrez dans l’auberge. Une odeur de mort flottait dans l’air, mêlé à une odeur d’alcool vinaigré. Les traces de combat était encore fraîche, l’endroit était sans dessus dessous et la lumières entrait par les fissures du mur, comme hésitante à éclairé l’endroit.

<<Éphrem! Ne t’éloigne pas, prépare toi à combattre…>>

Un homme gisait sur le sol, inconcient, du sang partout sur le corp. Selon ses vêtement, Xan devina vite qu’il sagissait surement d’un paysant, peut-être même de l’aubergiste. Il ne réflichis pas vraiment longtemps et décida d’aider le pauvre homme en panssant ses plaies et en lavant ses blessures. En espérant sussité une réaction, Xan décida de versé de l’alcool fort pour désinfecter le pauvre homme.

<<Hey! Jeune Homme! Vous allez bien?>>

Les hommes entendirent un froissement venant d’un coin de l’auberge. Une ombre y bougeait légèrement. D’un coup, la forme s’approcha d’eux, contournant un cadavre. C’était une petite fille d’à peu près cinq ans, habillé d’une robe légèrement tachée de sang. Ses longs cheveux bruns étaient attachés en deux tresses qui descendaient sur ses épaules.

-M’sieur, touche pas à mon papa, dit-elle d’une petite voix.

Elle fronçait les sourcils et sa bouche rose dessinait une grimace mécontente sur son joli visage pâle. Nerveuse, mais courageuse, la jeune fille s’approcha de son père entendu et l’enlaça de ses bras frêles.

L’apparition de la jeune fille surpris Xan, qui ne s’attendais pas à trouver âme qui vive dans un foutoir pareil. Il ne put que lancer un :

<<Du calme gamine, on est là pour aider. Tien, tu à l’aire affamé, mange ça.>>

Il sorti une boule de riz vinaigré de sa besace, en mangeas une bouché pour lui montré que le tout, quoiqu’inusité pour elle, était comestible et lui tendis la main pour lui donner le reste.

<<Si tu veux aider ton père on peut l’amener dans un lit pour le soigné, ou on peut le laisser mourir là, je te laisse le choix…>>

Sur quoi Xanof reposa la bouteille qui avait servis à désinfecté le pauvre homme et attendis la réponse de la petite fille

Juliette prit la boule de riz entre ses mains et la fixa curieusement. Quelle nourriture spéciale! Elle en prit une bouchée, presque à contrecœur parce que la nausée lui coinçait la gorge depuis la nuit. Les étrangers étaient peut-être gentils après tout et ils voulaient aider son père. La jeune fille leur pointa les escaliers au fond de la pièce qui menait au deuxième étage. Son père y dormait parfois quand il était trop tard pour qu'il revienne à leur petite maison.

-En haut, il y a un lit, marmonna-t-elle, la bouche pleine.

Comme une éclaireur, la petite se dirigea vers les escaliers qu'elle monta rapidement. La pièce du haut était presque vide mise à part un fauteuil, une petite table et le lit de son père.

Èphreme dans un moment de surprise laissa échaper un petit crie lorsque la fille sortie de sa cachette. Il regarda alors dans toute les direction les yeux grand ouvert, contournant l'homme blesser comme si il ni s'y trouvais pas.

Quand Xan sortie la boule de riz son regard se posa sur cette dernière
'' miam faim manger j'ai faim''
Il sortie la langue comme un chien et se mis a genou a la hauteur de la petite fille regardant xan droit dans les yeux.
Il ne détourna pas le regard le moins du monde lorsque la petite monta les escalier.

Xan ne fit pas de cas quand Éphrem lui supplia à genoux de la nourriture et lui lança une boule de riz, comme par habitude.

<<Voilà, mais tu n'en aura pas d'autre avant le souper, nous devons économisé les rations>>

Sur quoi il pris le paysan par dessus son épaule pour enjambé les débris et les cadavres et alla l'étendre dans le petit lit au 2eme étage. Il regarda le triste paysage qui s'offrait à lui par les fenêtres et lança d'un aire découragé :

<<Par tout les dieux, qu'est-ce qui s'est passer ici, ce n'est certainement par l'oeuvre d'humain, même les barbares n'aurait pas semer un chaos pareil...>>

Sont regard resta planté sur la jeune fille empalé, plus loin dans le champs.

<<Combien y a t'il de survivant? Et la menace est-elle écarté?>>

Il mangea une boule de riz, plus par nervosité que par simple faim, redoutant la réponse qu'il recevrait.

La jeune fille se rendit au chevet de son père et lui tint la main. Aux questions du monsieur, elle haussa les épaules bêtement.

-Je sais pas, marmonna-t-elle. Pu de paysans...partis. Les soldats aussi...C'est à cause des démons.

Elle se leva et vint se mettre sur la pointe des pieds devant la fenêtre. Elle pointa le milieu du champs où la jeune fille était empalée.

-Ils viennent de là...

Êphreme mangea sa boule de riz en un rein de temps et monta les marche 4 a 4 pour rattraper Xan et la petite.

Il se dirigea vers la petite et se laissa tomber a ces coter il déposa Binocle, se dernier se dirigea vers la petite et lui tendit la patte

- Lui Binocle, binocle protège, moi Êphreme lui (pointant Xan) popâ
Il sortie une pépite d'or de sa poche (et oui j'avais ramasser au dernier Okom) et le donna a Binocle qui la dévorât immédiatement. Puis il se mit a le flatter tout en regarda au loin sans pour autant regarder.

Xan se rendis vite compte qu'il n'avait aucune idée de l'attitude à adopter dans un moment pareil et que regarder la scène de carnage n'allait pas lui procurer une idée soudaine. Il pris donc l'initiative de sortir les cadavres dehors pour pouvoir faire une crémation plus tard et rentra dans l'auberge pour ensuite s'installer dans les escaliers, une bouteille d'alcool à la main, près à monter la garde. Il était le seul dans le village à pouvoir protégé les deux enfants qui se trouvais au deuxième étage et il ne prendrait aucune pause tant et aussi longtemps que des renfort n'arriverais pas. Il monta à l'étage un tonneau d'eau et de la viande séché en disant :

<<Prenez ça les enfants, nous resterons ici jusqu'à ce que les secours arrive, ou du moins jusqu'à ce que ton père reprenne ses esprits.>>

Sur quoi il s’installa dans les escaliers comme un tailleur, les deux poing en face des genoux, près à monter la garde jusqu'à ce que son corps n'en puisse plus.

Clément se réveilla en sursaut après avoir revu en rêve Tamoe, son ami de toujours, se faire enlever par les démons qui étaient sortis de la clarrière la nuit dernière. Il resta immobile un instant, pétrifié par la dernière image qu'il avait vu la veille avant de perdre connaissance: le visage de Tamoe ou ruisselaient des rigoles de sang, tantôt le sien, tantôt celui des démons qui l'emportaient dans la noirceur grandissante.

Sans attendre, Clément essaya de se lever du lit ou il gisait, mais sa blessure à la jambe le fit vasciller et il s'écroula sur le plancher. La petite fille le vit tomber et accouru vers lui pour lui porter secours en criant:

<<Papa, papa !>>

Clément se releva et regarde sa fille, il fût premièrement heureux de voir un visage familier, puis fronça les sourcils:

<<Qu'est-ce que tu fais ici Juliette ? Pourquoi n'est-tu pas avec ta mère ?>>
<<Maman a commencé à avoir ses contractions, je suis venu te chercher mais tu dormais>> dit-elle.
<<Ses contractions ? Quand? Est-ce qu'elle est seule ?>> dit Clément d'un ait affolé.
<<Arthur a disparu hier, Félix et Thomas sont encore avec Maman, je suis venue avec Benji>> dit-elle, pointant un chien à la robe blanche qui reniflait le sol plus loin.

Clément leva les yeux et vit deux personnages qu'il ne reconnu pas tout de suite:
<<C'est vous qui m'avez ammené ici?>> dit-il

-C'est vous qui m'avez ammené ici?

Xan ne détourna pas le regard, montant toujours la garde dans l'escalier

<<Si tu veux dire dans le lit, oui. Mais je n'ai aucune idée de ce qui c'est passé dans le village que j'ai connus il y a longtemps, durant le grand banquet. Pourrait tu m'expliquer pourquoi je vais devoir bientôt enterrez des visage familier en ces terres désolés>>

Sur quoi il posa un visage grave sur l'aubergiste, attendant une réponse brève mais précise

Clément regarda ses pieds, puis ses mains, encore rouges, poussa un grand soupir puis demanda a Juliette d'aller l'attendre en bas en lui baisant le front, ce qu'elle fit sans poser de questions. L'aubergiste racompta alors son histoire:

<<Des démons sont sortis de nulle part a la tombée de la nuit, nous avons sonné la cloche pour avertir les villageois, certains se sont barricadés, les plus forts se sont rassemblés devant l'auberge au millieu de la place centrale. Le chef de la milice s'est fait enlevé 3 jours auparavant, ce qui avait déjà donné un gros coup au moral des troupes. C'est Tamoe qui donnait les ordres ce soit là, il se battait comme un ours enragé. Nous repoussâmes la première vague sans grande misère, mais une seconde vague arriva, et pendant que certains occupaient nos lames, d'autres essayaient de mettre le feu à mon auberge. C'est alors que j'essayait d'éteindre le coin de mur que je les vis: deux bêtes énormes et velues, des créatures du démon, qui prirent d'assault Tamoe et l'emportèrent avec eux pendant que les plus petits nous empêchaient de les atteindre. Alors que notre milice était défaite, une vague de miliciens apparu au pas de course, et tranchait des gorges avec rapidité et précision... après quoi j'entendi un grognement et un chien de la taille d'un cheval me pris par derrière et me fit basculer, puis j'ai perdu conaissance, j'ai du me cogner en tombant>> dit-il en se frottant le coté de la tête.

<<Est-ce l'odeur du chaos qui vous a ammené ici? Comment vous appelle-t'on?>> Il regardait maintenant les deux nouveaux arrivants avec autant de questions que d'espoir.

Êphreme se sentit offusquer puisqu'il venait a peine de faire les présentation, même si l'homme n'étais pas conscient a se moment.

Il se leva et se dirigea vers l'homme ramassant Binocle dans ces bras, il le mis a la hauteur des yeux de l'aubergiste

-lui Binocle, moi Êphreme, lui popa et elle petite fille
dit d'un ton ferme

Binocle souriait a l'homme et laissant paraitre ces petite dent, et ces yeux grand yeux brillait, on pouvais facilement deviner qu'il étais heureux pour l'homme qui semblait aller mieux

-flatte le
ordonna Êphreme a l'homme